Actualités philosciences.com
- Détails
- Écrit par : Patrick Juignet
- Catégorie : Actualités philosophiques, scientifiques et sociétales
Le niveau physique de l'Univers est constitué de particules élémentaires. Les découvertes issues des accélérateurs de particules, ces « microscopes du monde quantique », ont révélé l’existence de 17 particules fondamentales, décrites par ce qui est communément appelé le modèle standard des particules.
- Détails
- Écrit par : Patrick Juignet
- Catégorie : Actualités philosophiques, scientifiques et sociétales
Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a publié en début d’année son rapport 2020 sur la situation des inégalités femmes-hommes dans le monde.
Le bilan est loin d’être encourageant. En effet, si ces inégalités ont nettement diminué entre le milieu des années quatre-vingt-dix et le début des années 2010, le rapport souligne que le rythme de cette amélioration a franchement ralenti depuis.
On peut se demander quels sont les facteurs socio-culturels favorables au dénigrement des femmes ?
Le résultat de l'étude de Laurent Cordonier, Florian Cafiero, Gérald Bronner est le suivant : indépendamment de la religion majoritaire des pays, c’est l’existence d’un fort sentiment religieux au sein de la population qui est le plus étroitement associé à un haut niveau de stéréotypes sexistes dirigés contre les femmes. Sans surprise, un faible niveau de développement – et, donc, d’éducation – est lui aussi lié à une forte prévalence de tels stéréotypes.
L’islam, de son côté, est un facteur supplémentaire qui vient s’ajouter à la religiosité et au niveau de développement, lorsque l’on prend comme indicateur la part de la population qui fait preuve d’un sexisme très marqué (c’est-à-dire, qui entretient au moins deux stéréotypes de genre sur les sept testés).
Laurent Cordonier, Florian Cafiero, Gérald Bronner, Is there a relation between religiosity and gender stereotypes in the world ?. 2020.
- Détails
- Écrit par : Patrick Juignet
- Catégorie : Actualités philosophiques, scientifiques et sociétales
Aux États-Unis, l’espérance de vie de la population a cessé d’augmenter à partir de 2010. Depuis 2014, elle a régressé pour les hommes de 20 à 40 ans. Par opposition, en Europe, l’espérance de vie de la population a continué à augmenter.
La détérioration de la situation américaine en matière de mortalité est essentiellement due à l’augmentation de la mortalité chez les adultes d’âge actif et, tout particulièrement, chez les jeunes adultes (de 20 à 40 ans). Dans cette population, elle est lié pour moitié aux overdoses (drogues et médicaments) et pour moitié à d’autres causes telles que les accidents, les suicides et homicides. Pour les plus âgés, sont en cause les maladies cardio-vasculaires, le diabète et l’hypertension, liés à l’obésité, maladies favorisées par la nourriture industrielle.
La vie et la santé des citoyens ne semblent pas être une priorité aux yeux des électeurs américains et de leurs dirigeants.